ROHINGYA

Zorina Khatun. 53 ans.
Peraieng Daong village au Myanmar.

Dans son village un jour des jeune bouddhiste (groupe identitaire avec uniforme) et des militaires sont arrivé. Ils y avaient 360 familles. Tous ont été arrêté. Les jeunes ont été attaché les mains dans de le dos et ont été battu. Devant elle, son frère (25) et deux de ses neveux ont été descendu par des gun. « Il n’a avait rien fait pour mériter ça. Juste parce qu’il était rohingya » Quand elle a vu ça elle a perdu l’audition, la vu, la parole, elle était en état de choc. Ensuite les militaires ont brûlé vivant plein de gens, des enfants, des femmes. Ils ont brûlé les maison, leurs bien. Ils ont mis le feu à tout. «J’avais une grande maison, pleins de vaches, une ferme. Nous étions une famille riche, maintenant je n’ai plus rien.»

Ils lui ont dit: part, part n’importe où tu veux partir. Elle marche seule dans la forêt, seule, entourée de rohingyas qui tous ensemble fuient les violences qui ont court dans tous les villages rohingyas de Arkham State. Plein de gens dans la forêt se sauvent pour rester leur vie. Des villageois lui donne un coup de main pour arriver à la frontière. Au Bangladesh plein de gens attendent pour voir s’il peuvent retrouver des proches qui arrivent comme réfugié. Elle ne voit personne. D’autre gens l’aide.

Un jour elle voit un proche de sa famille et cri son nom. Elle demande où est son fils qui avait quitté le Myanmar pour se rendre dans les camps de réfugié quelques jours plus tôt. Retrouvailles deux heures plus tard.

« Qui m’a aidé, je ne sais pas, je ne me souvient de rien. Quand je pense à ça je pleure. Je pris pour ne jamais retourner à Arakhan State. »

« Maintenant, inch Allah, je pense prier, manger, il y a des soins de santé, Dave the children. On a de l’aide. Je ne je veux pas y retourner. »

Tout les jours je pense au gouvernement du myanmar qui nous ont tué, tout les jours j’ai ca dan